Je trouve aussi étonnant que l’on nomme lâche le malheureux qui se prive de la vie que si l’on donnait ce nom au malade qui succombe à une fièvre maligne.
Je trouve aussi étonnant que l’on nomme lâche le malheureux qui se prive de la vie que si l’on donnait ce nom au malade qui succombe à une fièvre maligne. Goethe