Je venais de perdre mon premier amour, celui qui marque le plus douloureusement ; sans doute parce qu’à mon âge, stupidement, on a la naïveté de le croire éternel. Mais s’il l’était vraiment éternel l’appellerait-on encore premier ?.
Je venais de perdre mon premier amour, celui qui marque le plus douloureusement ; sans doute parce qu’à mon âge, stupidement, on a la naïveté de le croire éternel. Mais s’il l’était vraiment éternel l’appellerait-on encore premier ?. Ysabelle Lacamp