Je voudrais écrire une nouvelle où un homme passerait tous les jours devant la boutique du mouleur de statuettes en plâtre d’Ostergade, ôterait son chapeau, se tiendrait un instant silencieux, et dirait chaque jour, régulièrement : O merveilleuse nature de la Grêce, pourquoi m’a-t-il été refusé de vivre sous ton ciel, aux jours de ta prospérité ?.
Je voudrais écrire une nouvelle où un homme passerait tous les jours devant la boutique du mouleur de statuettes en plâtre d’Ostergade, ôterait son chapeau, se tiendrait un instant silencieux, et dirait chaque jour, régulièrement : O merveilleuse nature de la Grêce, pourquoi m’a-t-il été refusé de vivre sous ton ciel, aux jours de ta prospérité ?. Soren Kierkegaard