J’écris pour tenir tête au silence établi, – pour rallumer des mots éteints par l’habitude – et les garder vivants face à cette hébétude – qui pétrifie le cœur et nous désunit.
J’écris pour tenir tête au silence établi, – pour rallumer des mots éteints par l’habitude – et les garder vivants face à cette hébétude – qui pétrifie le cœur et nous désunit. Michel Baglin