J’étais à peine lucide et comme anesthésiée par le chagrin qui, à trop forte dose, devient sa propre morphine.
J’étais à peine lucide et comme anesthésiée par le chagrin qui, à trop forte dose, devient sa propre morphine. Hervé Bazin
J’étais à peine lucide et comme anesthésiée par le chagrin qui, à trop forte dose, devient sa propre morphine. Hervé Bazin