Jeune, en meute comme des chiots, on ne se quitte pas, on rit, on s’aime, on n’a pas besoin du dégoûtant espoir car on est l’espoir. La vie fracasse tout cela, créant des isolements. On se met à espérer.
Jeune, en meute comme des chiots, on ne se quitte pas, on rit, on s’aime, on n’a pas besoin du dégoûtant espoir car on est l’espoir. La vie fracasse tout cela, créant des isolements. On se met à espérer. Charles Dantzig