Jeunes gens le temps est devant vous comme un cheval échappé – Qui le saisit à la crinière entre ses genoux qui le dompte – N’entend désormais que le bruit des fers de la bête qu’il monte – Trop à ce combat nouveau pour songer au bout de l’équipée.
Jeunes gens le temps est devant vous comme un cheval échappé – Qui le saisit à la crinière entre ses genoux qui le dompte – N’entend désormais que le bruit des fers de la bête qu’il monte – Trop à ce combat nouveau pour songer au bout de l’équipée. Louis Aragon
Partir au galop à cru,cheveux au vent