J’ignorais ce qu’une femme doit attendre d’un époux, mais le contentement que j’éprouvais à m’endormir auprès de lui, sitôt nos corps délivrés du singulier mystère des gestes de la nuit, me fut une réponse suffisante.
J’ignorais ce qu’une femme doit attendre d’un époux, mais le contentement que j’éprouvais à m’endormir auprès de lui, sitôt nos corps délivrés du singulier mystère des gestes de la nuit, me fut une réponse suffisante. Gaëlle Josse