Jonathan Tropper
L’enfance on dirait que c’est pour toujours, c’est comme un univers en soi, et puis un beau matin, c’est la fin, et vous vous retrouvez à pelleter de la terre sur la tombe de votre père, confondu par l’inconstance des choses.
L’enfance on dirait que c’est pour toujours, c’est comme un univers en soi, et puis un beau matin, c’est la fin, et vous vous retrouvez à pelleter de la terre sur la tombe de votre père, confondu par l’inconstance des choses.