Jules Barbey d’ Aurevilly : Les diaboliques
Je n’ai jamais pu voir une fenêtre, – éclairée la nuit, – dans une ville couchée, par laquelle je passais, – sans accrocher à ce cadre de lumière un monde de pensées, – sans imaginer derrière ces rideaux des intimités et des drames… Et maintenant, oui, au bout de tant d’années, j’ai encore dans la […]