Jules Laforgue
Permettez, ô sirène, Voici que votre haleine Embaume la verveine C’est l’printemps qui s’amène ! – Ce système, en effet, ramène le printemps, Avec son impudent cortège d’excitants.
Permettez, ô sirène, Voici que votre haleine Embaume la verveine C’est l’printemps qui s’amène ! – Ce système, en effet, ramène le printemps, Avec son impudent cortège d’excitants.