Ken Follett
Les Arabes considèrent qu’une œuvre d’art doit toujours avoir un petit défaut quelque part. Pour ne pas concurrencer la perfection divine, ce qui serait un sacrilège.
Les Arabes considèrent qu’une œuvre d’art doit toujours avoir un petit défaut quelque part. Pour ne pas concurrencer la perfection divine, ce qui serait un sacrilège.