La chute des peuples diffère de celle de l’homme, dont les restes se consument sur le lieu même où il meurt; elle ressemble plutôt aux cataractes des fleuves, dont les eaux retombent à la vérité en poussière, mais qui se réunissent ensuite dans un nouveau lit et prennent un autre cours.
La chute des peuples diffère de celle de l’homme, dont les restes se consument sur le lieu même où il meurt; elle ressemble plutôt aux cataractes des fleuves, dont les eaux retombent à la vérité en poussière, mais qui se réunissent ensuite dans un nouveau lit et prennent un autre cours.
Jean-Paul