La littérature des pays totalitaires ne meurt pas tant parce qu’elle est dirigée que parce qu’elle est coupée des autres littératures. Tout artiste qui, d’avance, n’est pas ouvert à la réalité entière est mutilé.
La littérature des pays totalitaires ne meurt pas tant parce qu’elle est dirigée que parce qu’elle est coupée des autres littératures. Tout artiste qui, d’avance, n’est pas ouvert à la réalité entière est mutilé. Camus