La main-d’œuvre n’est rien en Chine ; une journée de travail y vaut trois sous. (. .. ) Eh bien ! il faut remplacer les procédés du Chinois au moyen de quelque machine. On arrive par des machines à résoudre le problème du bon marché que procure à la Chine le bas prix de sa main-d’œuvre.
La main-d’œuvre n’est rien en Chine ; une journée de travail y vaut trois sous. (. .. ) Eh bien ! il faut remplacer les procédés du Chinois au moyen de quelque machine. On arrive par des machines à résoudre le problème du bon marché que procure à la Chine le bas prix de sa main-d’œuvre. Honoré de Balzac