La méprise numéro un des assoifés de pouvoir : croire que le pouvoir mène à la puissance, alors qu’il les en éloigne un peu plus à chaque fois qu’il enfle et s’impose en tant qu’autorité.
La méprise numéro un des assoifés de pouvoir : croire que le pouvoir mène à la puissance, alors qu’il les en éloigne un peu plus à chaque fois qu’il enfle et s’impose en tant qu’autorité. Vincent Cespedes