La pensée d’une femme est douce d’une incroyable élasticité : quand elle reçoit un coup d’assommoir, elle plie, paraît écrasée, et reprend sa forme dans un temps donné.
La pensée d’une femme est douce d’une incroyable élasticité : quand elle reçoit un coup d’assommoir, elle plie, paraît écrasée, et reprend sa forme dans un temps donné. Balzac