La pierre de touche de tout système religieux ou politique ou pédagogique, c’est l’homme qu’il forme, l’individu qui sort de ses mains. Si le système nuit à l’intelligence, il est mauvais ; s’il nuit au caractère, il est vicieux ; s’il nuit à la conscience, il est criminel.
La pierre de touche de tout système religieux ou politique ou pédagogique, c’est l’homme qu’il forme, l’individu qui sort de ses mains. Si le système nuit à l’intelligence, il est mauvais ; s’il nuit au caractère, il est vicieux ; s’il nuit à la conscience, il est criminel. Henri-Frédéric Amiel