La quarantaine ou l’âge du renoncement ? Et si, une fois atteint l’autre côté du miroir, c’était un âge plus heureux à vivre que celui des possibles, au moins parce que l’espace des choix s’est réduit et qu’il ne reste donc qu’à profiter de la vie ?.
La quarantaine ou l’âge du renoncement ? Et si, une fois atteint l’autre côté du miroir, c’était un âge plus heureux à vivre que celui des possibles, au moins parce que l’espace des choix s’est réduit et qu’il ne reste donc qu’à profiter de la vie ?. Marianne Rubinstein