La question première des Grandes Écoles de commerce devrait être : Comment évite-t-on à des jeunes de devenir des requins ? – Des abrutis, qui ne cherchent que le fric et la rentabilité et qui, au nom du quantitatif hyperconnecté super-rapide, pourrissent leur équipe, participent à l’augmentation de la misère sociale, s’accommodent complètement du chômage structurel de masse et ne cherchent en rien à faire changer le monde d’un point de vue humaniste. Telle est ma question. Et si l’on reste uniquement dans le quantitatif, on fera des requins, (. .. ) des cyniques recherchant le profit à court terme, en total accord avec l’exploitation de l’homme par l’homme, laquelle, au bout du compte, s’avère inefficace. .. jusque dans le business !.
La question première des Grandes Écoles de commerce devrait être : Comment évite-t-on à des jeunes de devenir des requins ? – Des abrutis, qui ne cherchent que le fric et la rentabilité et qui, au nom du quantitatif hyperconnecté super-rapide, pourrissent leur équipe, participent à l’augmentation de la misère sociale, s’accommodent complètement du chômage structurel de masse et ne cherchent en rien à faire changer le monde d’un point de vue humaniste. Telle est ma question. Et si l’on reste uniquement dans le quantitatif, on fera des requins, (. .. ) des cyniques recherchant le profit à court terme, en total accord avec l’exploitation de l’homme par l’homme, laquelle, au bout du compte, s’avère inefficace. .. jusque dans le business !. Vincent Cespedes