La tentation, pour moi, était irrésistible je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j’arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
La tentation, pour moi, était irrésistible je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j’arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot. Camille Saint-Saëns