La vie dans la caserne ou l’usine en attendant la mort sur les champs de bataille serait-elle vraiment l’aboutissement de tant de siècles de civilisation et d’efforts ? Autant vaudrait alors revenir à l’âge des cavernes. L’homme y vivait dans les dangers sans doute, mais il jouissait au moins de quelque liberté.
La vie dans la caserne ou l’usine en attendant la mort sur les champs de bataille serait-elle vraiment l’aboutissement de tant de siècles de civilisation et d’efforts ? Autant vaudrait alors revenir à l’âge des cavernes. L’homme y vivait dans les dangers sans doute, mais il jouissait au moins de quelque liberté. Gustave Le Bon