La vie de l’homme est-elle donc si longue, qu’il puisse se livrer à ses ressentiments? Le nombre des bons est-il donc si grand qu’ils puissent se fuir les uns les autres?
La vie de l’homme est-elle donc si longue, qu’il puisse se livrer à ses ressentiments? Le nombre des bons est-il donc si grand qu’ils puissent se fuir les uns les autres?
Jean-Paul