La vie était un phénomène discontinu, non linéaire, un jeu où l’addition n’arrivait jamais à zéro quelque chose de non commutatif, d’absolument irréversible. Les évènements se multipliaient et se bousculaient plus qu’ils ne s’additionnaient.
La vie était un phénomène discontinu, non linéaire, un jeu où l’addition n’arrivait jamais à zéro quelque chose de non commutatif, d’absolument irréversible. Les évènements se multipliaient et se bousculaient plus qu’ils ne s’additionnaient. Gregory Benford