La ville arabe d’Alger est pleine d’agitation nocturne. Dès que le soir vient, Tunis est mort. Les petites rues étroites, tortueuses, inégales, semblent les couloirs d’une cité abandonnée, dont on a oublié d’éteindre le gaz, par places.
La ville arabe d’Alger est pleine d’agitation nocturne. Dès que le soir vient, Tunis est mort. Les petites rues étroites, tortueuses, inégales, semblent les couloirs d’une cité abandonnée, dont on a oublié d’éteindre le gaz, par places. Guy de Maupassant