L’abandon de toute chronologie à l’école primaire est tout aussi nocif que l’indigeste accumulation de dates subie jusqu’au baccalauréat par des millions d’élèves qui, étudiant notamment l’époque contemporaine, devaient et doivent toujours apprendre, pour certains faits jugés fondamentaux, non seulement l’année, mais aussi le mois et son quantième !.
L’abandon de toute chronologie à l’école primaire est tout aussi nocif que l’indigeste accumulation de dates subie jusqu’au baccalauréat par des millions d’élèves qui, étudiant notamment l’époque contemporaine, devaient et doivent toujours apprendre, pour certains faits jugés fondamentaux, non seulement l’année, mais aussi le mois et son quantième !. Jacques Capelovici