Salut Ritchie! Et bienvenue ici. :-)Oui pour moi le prpoos cine9matographique de Mann est bien plus spirituel et profond que ce dont il a l’air au premier abord, et parfois l’e9pure de ses images sert bien son dessein, notamment dans :— Collateral avec un Los Angeles stylise9 e0 l’extreame pour de9ployer la dialectique du bien et du mal en fore7ant le spectateur e0 tracer lui-meame la ligne qui articule la morale et l’e9thique (le gentil chauffeur de taxi Jamie Foxx vs le tueur implacable Tom Cruise…)— et Miami Vice sur un the8me similaire of9 le jugement impe9ratif de chacun de leurs actes par les he9ros les soumet e0 un tel inconfort, une telle fre9ne9sie de l’impossible e0 eatre (dans l’acte et dans l’estimation des conse9quences de ses actes pour l’Autre) qu’il n’y a pas un plan de9passant 7 secondes, tenant le spectateur en haleine tout du long…Quant e0 Public Enemies, dont le the8me est e9galement proche : un hors la loi qui incarne sa propre loi (e9thique-individuelle) vs un flic qui sert la loi (morale-sociale) mais qui servant au passage ses propres penchants pathologiques narcissiques s’apere7oit qu’il a fini par se mettre au service d’une perversion et se suicide… le ratage tient e0 mon avis e0 :- 1 une erreur de casting, Johnny Depp excellent dans les Tim Burton n’a ni la densite9 pulsionnelle ni l’e9paisseur vitale pour incarner un type tel que Dillinger- 2 les sce8nes sont vues et revues, notamment les attaques de banques, et la lisibilite9 du me9diateur e9vanouissant que doit incarner le flic e9thico-moral texan n’est pas accessible avant la toute fin du film…
Un amour serein ne connait pas ses éceuils
L'amour peut être comme l'air qu'on respire en forêt, frais dans la canicule, tiède au long des hivers.
Salut Ritchie! Et bienvenue ici. :-)Oui pour moi le prpoos cine9matographique de Mann est bien plus spirituel et profond que ce dont il a l’air au premier abord, et parfois l’e9pure de ses images sert bien son dessein, notamment dans :— Collateral avec un Los Angeles stylise9 e0 l’extreame pour de9ployer la dialectique du bien et du mal en fore7ant le spectateur e0 tracer lui-meame la ligne qui articule la morale et l’e9thique (le gentil chauffeur de taxi Jamie Foxx vs le tueur implacable Tom Cruise…)— et Miami Vice sur un the8me similaire of9 le jugement impe9ratif de chacun de leurs actes par les he9ros les soumet e0 un tel inconfort, une telle fre9ne9sie de l’impossible e0 eatre (dans l’acte et dans l’estimation des conse9quences de ses actes pour l’Autre) qu’il n’y a pas un plan de9passant 7 secondes, tenant le spectateur en haleine tout du long…Quant e0 Public Enemies, dont le the8me est e9galement proche : un hors la loi qui incarne sa propre loi (e9thique-individuelle) vs un flic qui sert la loi (morale-sociale) mais qui servant au passage ses propres penchants pathologiques narcissiques s’apere7oit qu’il a fini par se mettre au service d’une perversion et se suicide… le ratage tient e0 mon avis e0 :- 1 une erreur de casting, Johnny Depp excellent dans les Tim Burton n’a ni la densite9 pulsionnelle ni l’e9paisseur vitale pour incarner un type tel que Dillinger- 2 les sce8nes sont vues et revues, notamment les attaques de banques, et la lisibilite9 du me9diateur e9vanouissant que doit incarner le flic e9thico-moral texan n’est pas accessible avant la toute fin du film…