L’amour conjugal, comme je le conçois, revêt alors une femme d’espérance, la rend souveraine, et lui donne une force inépuisable, une chaleur de vie qui fait tout fleurir autour d’elle. Plus elle est maîtresse d’elle-même, plus sûre elle est de rendre l’amour et le bonheur viables.
L’amour conjugal, comme je le conçois, revêt alors une femme d’espérance, la rend souveraine, et lui donne une force inépuisable, une chaleur de vie qui fait tout fleurir autour d’elle. Plus elle est maîtresse d’elle-même, plus sûre elle est de rendre l’amour et le bonheur viables. Balzac