L’amour est au-dessus de nos têtes, — comme les astres. Nous ne voyons de lui qu’un peu de sa lumière, mais nous n’imaginons pas ce que peut être son foyer. Ce peu de chaleur qui nous vient d’en haut et qui suffit parfois à nous grandir, nains que nous sommes, ou à nous consumer.
L’amour est au-dessus de nos têtes, — comme les astres. Nous ne voyons de lui qu’un peu de sa lumière, mais nous n’imaginons pas ce que peut être son foyer. Ce peu de chaleur qui nous vient d’en haut et qui suffit parfois à nous grandir, nains que nous sommes, ou à nous consumer. Pierre-Jules Stahl