L’amour est une quête de perpétuelle remise en question. Difficile d’admettre que l’on est passé à côté. À trop se poser de questions sur la teneur du lendemain, on en oublie de regarder autour de soi. On ne voit pas les gens qui nous veulent du bien. Ces gens-là, en général, on les rate. On ne fait que les frôler et trop tard, bien tardivement, quand notre vie s’est tissée maladroitement, alors, on identifie la clé, celui qu’il nous fallait, celui qui aurait pu nous aimer et nous permettre d’avancer. Celui qu’on a laissé se retirer, par égoïsme, par carriérisme.
L’amour est une quête de perpétuelle remise en question. Difficile d’admettre que l’on est passé à côté. À trop se poser de questions sur la teneur du lendemain, on en oublie de regarder autour de soi. On ne voit pas les gens qui nous veulent du bien. Ces gens-là, en général, on les rate. On ne fait que les frôler et trop tard, bien tardivement, quand notre vie s’est tissée maladroitement, alors, on identifie la clé, celui qu’il nous fallait, celui qui aurait pu nous aimer et nous permettre d’avancer. Celui qu’on a laissé se retirer, par égoïsme, par carriérisme. Emmanuel Bodin