L’amour ne reposait-il donc sur rien de plus que le jeu auquel le moule des premiers liens condamne à vouloir jouer – et perdre – invariablement, indéfiniment ?.
L’amour ne reposait-il donc sur rien de plus que le jeu auquel le moule des premiers liens condamne à vouloir jouer – et perdre – invariablement, indéfiniment ?. Françoise Hardy