L’amour-propre, bien que comblé d’éloges, n’en déborde jamais ; c’est le tonneau des Danaides, moins les trous.
L’amour-propre, bien que comblé d’éloges, n’en déborde jamais ; c’est le tonneau des Danaides, moins les trous.
John Petit-Senn
L’amour-propre, bien que comblé d’éloges, n’en déborde jamais ; c’est le tonneau des Danaides, moins les trous.
John Petit-Senn