L’aptitude à aimer sans dévorer serait-elle un bénéfice automatique de l’âge ? Je ne le crois pas. Comme toute aptitude, elle demande qu’on s’y applique. L’expérience montre qu’en la laissant à l’abandon, on s’enferre dans des relations de plus en plus problématiques.
L’aptitude à aimer sans dévorer serait-elle un bénéfice automatique de l’âge ? Je ne le crois pas. Comme toute aptitude, elle demande qu’on s’y applique. L’expérience montre qu’en la laissant à l’abandon, on s’enferre dans des relations de plus en plus problématiques. Lytta Basset