Le ciel m’en est témoin, dès le premier moment, Je compris que l’aimer était peine inutile ; Et cependant mon cœur prit un amer plaisir – A sentir qu’il aimait et qu’il allait souffrir !.

2 pensées sur “Le ciel m’en est témoin, dès le premier moment, Je compris que l’aimer était peine inutile ; Et cependant mon cœur prit un amer plaisir – A sentir qu’il aimait et qu’il allait souffrir !.”

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  Cochonfucius

  juillet 27, 2012 à 1:27

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  Les plaisirs les plus amers ne sont pas les moins violents.

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  Esther

  octobre 13, 2012 à 2:37

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  Ils sont très violents.

Commentaires fermés.