Le clash ne sonne pas seulement les certitudes de surface, mais le corps, les affects, les soubassements autoritaires-identitaires. Il demande : Où ça va ? , et non plus : D’où ça vient ? Amarré au présent, il substitue en un clin d’œil la question de l’avenir — politique — à la question des origines.
Le clash ne sonne pas seulement les certitudes de surface, mais le corps, les affects, les soubassements autoritaires-identitaires. Il demande : Où ça va ? , et non plus : D’où ça vient ? Amarré au présent, il substitue en un clin d’œil la question de l’avenir — politique — à la question des origines. Vincent Cespedes