Le désespoir est le suicide du cœur ; et de même qu’en Silésie on ensevelit la face contre terre celui qui s’est suicidé, l’homme en proie au désespoir laisse retomber vers la terre, où il n’est pas encore, son visage qu’il devrait tourner vers le ciel qu’il a perdu, le ciel qui lui est et qui lui sera toujours ouvert.
Le désespoir est le suicide du cœur ; et de même qu’en Silésie on ensevelit la face contre terre celui qui s’est suicidé, l’homme en proie au désespoir laisse retomber vers la terre, où il n’est pas encore, son visage qu’il devrait tourner vers le ciel qu’il a perdu, le ciel qui lui est et qui lui sera toujours ouvert. Jean-Paul Richter