Le Fait, quelque dommageable qu’il soit aux intérêts, se pardonne à la longue, il s’explique de mille manières ; mais l’amour-propre, qui saigne toujours du coup qu’il a reçu, ne pardonne jamais à l’Idée.
Le Fait, quelque dommageable qu’il soit aux intérêts, se pardonne à la longue, il s’explique de mille manières ; mais l’amour-propre, qui saigne toujours du coup qu’il a reçu, ne pardonne jamais à l’Idée. Honoré de Balzac