Le mal-être finit par devenir une sorte de seconde nature. On y tient. On s’y vautre. Et l’auto-complaisance est une des meilleures nourritures que je connaissance pour l’alimenter.
Le mal-être finit par devenir une sorte de seconde nature. On y tient. On s’y vautre. Et l’auto-complaisance est une des meilleures nourritures que je connaissance pour l’alimenter. Marcus Malte