Le paysan n’a besoin que de garanties individuelles, il les possède. Le prolétaire ne peut vivre que par des garanties collectives n’étant individuellement qu’un atome devant l’industrie, il ne vaut que par sa masse.
Le paysan n’a besoin que de garanties individuelles, il les possède. Le prolétaire ne peut vivre que par des garanties collectives n’étant individuellement qu’un atome devant l’industrie, il ne vaut que par sa masse. Prosper-Olivier Lissagaray