Le petit garçon était raidi, subjugué, sans un mot de chagrin ou de révolte, mais ses yeux ressemblaient à ces étangs qu’une grosse averse fait déborder en hiver.
Le petit garçon était raidi, subjugué, sans un mot de chagrin ou de révolte, mais ses yeux ressemblaient à ces étangs qu’une grosse averse fait déborder en hiver. Maria Judite de Carvalho