Le pire n’est pas de mourir. Le pire est de survivre aux morts aimés, avec le reste de l’existence à venir empoisonné par le souvenir d’un trou dans la terre. Un trou qui n’est rien d’autre que celui creusé dans le cœur.
Le pire n’est pas de mourir. Le pire est de survivre aux morts aimés, avec le reste de l’existence à venir empoisonné par le souvenir d’un trou dans la terre. Un trou qui n’est rien d’autre que celui creusé dans le cœur. Bruno Descamps