Le pouvoir est, je pense, un animal affamé, dévorant ceux qui le convoitent et ceux qui le haïssent, allant jusqu’à dévorer ceux qui le détiennent.
Le pouvoir est, je pense, un animal affamé, dévorant ceux qui le convoitent et ceux qui le haïssent, allant jusqu’à dévorer ceux qui le détiennent. Michael Moorcock