Le prisonnier qui ne croyait plus à l’avenir – son avenir – était perdu. En perdant cette foi, il perdait sa spiritualité : il se laissait dépérir moralement et physiquement.
Le prisonnier qui ne croyait plus à l’avenir – son avenir – était perdu. En perdant cette foi, il perdait sa spiritualité : il se laissait dépérir moralement et physiquement. Victor Frankl