Le roman n’est pas posé sur la réalité comme le couvercle sur une boîte. Il est une autre réalité qui gravite autour de la première et qui l’éclaire. C’est la seule manière d’expliquer que nous puissions encore trouver plaisir et vérité dans des œuvres comme celles de Balzac, de Flaubert, de Dostoïevski, ou dans des œuvres encore plus anciennes.
Le roman n’est pas posé sur la réalité comme le couvercle sur une boîte. Il est une autre réalité qui gravite autour de la première et qui l’éclaire. C’est la seule manière d’expliquer que nous puissions encore trouver plaisir et vérité dans des œuvres comme celles de Balzac, de Flaubert, de Dostoïevski, ou dans des œuvres encore plus anciennes. Félicien Marceau