Le sept, c’est avant tout un chiffre étrange : il ne tient pas sur les doigts de la main et on ne peut le partager, c’est le retour des déséquilibres. Il doit bien y avoir là quelque chose de sacré ou de pervers. Nul moyen de partager 7 de manière équilibrée. C’est le petit qui doit s’accorder avec le grand. C’est Laurel et Hardy. Mais 4+3, c’est la trinité qui s’accorde avec la nature, c’est la complétude. C’est ainsi que le 7 règne sur toutes les légendes, sacrées ou contées.
Le sept, c’est avant tout un chiffre étrange : il ne tient pas sur les doigts de la main et on ne peut le partager, c’est le retour des déséquilibres. Il doit bien y avoir là quelque chose de sacré ou de pervers. Nul moyen de partager 7 de manière équilibrée. C’est le petit qui doit s’accorder avec le grand. C’est Laurel et Hardy. Mais 4+3, c’est la trinité qui s’accorde avec la nature, c’est la complétude. C’est ainsi que le 7 règne sur toutes les légendes, sacrées ou contées. Didier Hallépée