Le souvenir d’un amour révolu, lorsqu’il demeure fortement dans la mémoire, n’est pas moins absorbant que ne l’était cet amour même. Peut-être allégerai-je mon cœur, si je dépose dans ces pages tout ce dont il est rempli.
Le souvenir d’un amour révolu, lorsqu’il demeure fortement dans la mémoire, n’est pas moins absorbant que ne l’était cet amour même. Peut-être allégerai-je mon cœur, si je dépose dans ces pages tout ce dont il est rempli. Jean-Louis Vaudoyer