Le tour du monde est un parcours exceptionnel et d’une beauté infinie. Le tour du monde météorologique est d’une grande violence – et d’une grande intensité aussi, par conséquent. L’intelligence, c’est de faire vite ce parcours, le plus vite possible. Pourquoi ? Non pour gagner du temps, mais pour piloter mieux, pour mieux comprendre. Aller vite sur la mer, c’est prendre (aussi absurde que cela puisse paraître) une autre route. Aller vite, c’est démontrer qu’on a bien compris la mer. La vitesse, c’est une esthétique.
Le tour du monde est un parcours exceptionnel et d’une beauté infinie. Le tour du monde météorologique est d’une grande violence – et d’une grande intensité aussi, par conséquent. L’intelligence, c’est de faire vite ce parcours, le plus vite possible. Pourquoi ? Non pour gagner du temps, mais pour piloter mieux, pour mieux comprendre. Aller vite sur la mer, c’est prendre (aussi absurde que cela puisse paraître) une autre route. Aller vite, c’est démontrer qu’on a bien compris la mer. La vitesse, c’est une esthétique. Olivier de Kersauson