Le vide produit le froid et le froid me hérisse de glaçons. Le souffle du printemps, la chaleur des affections, redonnerait à mon sang la circulation, à mon âme l’espérance, à mon imagination la verve, à tout mon être l’élan.
Le vide produit le froid et le froid me hérisse de glaçons. Le souffle du printemps, la chaleur des affections, redonnerait à mon sang la circulation, à mon âme l’espérance, à mon imagination la verve, à tout mon être l’élan. Henri-Frédéric Amiel