Le Voreux, au fond de son trou, avec son tassement de bête méchante, s’écrasait davantage, respirait d’une haleine plus grosse et longue, l’air gêné par sa digestion pénible de chair humaine.
Le Voreux, au fond de son trou, avec son tassement de bête méchante, s’écrasait davantage, respirait d’une haleine plus grosse et longue, l’air gêné par sa digestion pénible de chair humaine. Émile Zola