L’écrivain, cendrier rempli des mégots de la vanité, et qui se prend pour Dieu. Parce qu’il partage avec lui le privilège de ne pas exister.
L’écrivain, cendrier rempli des mégots de la vanité, et qui se prend pour Dieu. Parce qu’il partage avec lui le privilège de ne pas exister. Régis Jauffret